Les préfectures du Finistère et des Côtes-d’Armor autorisent la destruction de cet oiseau protégé. En cause : les dégâts qu’il occasionne au secteur agricole. Pourtant, d’autres solutions existent, selon l’association One Voice.Reporterre, le média de l'écologie - Indépendant et en accès libre
Au moment de la cueillette dans un verger, on ne prenait que les pommes du bas, on ne se faisait pas chier à prendre celles du haut qui étaient pour les oiseaux. Et lorsqu'elles tombent, c'est pour le restant de la faune.